Depuis que L’ENACTI (école nationale des cadastre et des titres immobiliers a mis la main à la pâte, on parle de plus en plus de la femme des affaires foncières. On se rappellera que le directeur coordinateur de cette école, le professeur Lucien BANZA MPANGA, assisté de Madame Rosette MASENGO KALOMBO, secrétaire de direction à la direction de cet enseignement supérieur et académique avaient, il n’y a pas longtemps fait des bouffées double.
Un important cycle des conférences avait été organisé avec succès à l’une des festivités marquant le mois de la femme. Des femmes chargées des cours, des notaires et autres dames éprises de la chose de l’esprit avaient fait des exposés riches en enseignement au point de contenter les invités et autres participants à ce carrefour où il y eut un échange d’idées très profond et riche en couleur.
Sans se limiter à ce niveau-là, dernièrement encore, Madame MASENGO Rosette, secrétaire à l’ENACTI avait réussi à rassembler des enfants autour des petits jeux où les unes et les autres ont à leur manière étalé leur savoir-faire.
Ainsi point n’est besoin d’affirmer que la femme de l’ENACTI est désormais au rendez-vous de l’horizon 2030. Son éclosion vers le grand public n’est plus un doute mais bien une réalité vivante. Désormais, il n’ y a pas que des hommes notaires, géomètres, arpenteurs ou chaineurs qui peuvent marquer les époques mais aussi des femmes qui ont exprimées leur vocation dans le domaine des affaires foncières qui peuvent faire entendre leurs voix. Coup de chapeau donc à l’ENACTI – KATANGA d’orienter les femmes vers les sommités. (Nous y reviendrons) .
Jean – Léonard MWAMBA KAPINGA