dans une même sphère spirituelle ou ancestrale, mieux dans un même cosmos ethnique comme Birindwa. Bruno Tshibala et Samy Badibanga ont bénéficié de cette réalité tribale en s’approchant d’Etienne Tshisekedi. Mais ils l’ont trahi. Ils l’ont tué. En collaboration avec son Médecin, Oly Ilunga, Médecin Directeur de la Clinique où Etienne Tshisekedi a rendu l’âme en présence de Raphaël Katebe Katoto.
Pour donner une possibilité à quelqu’un sans base, ni représentation signifiable au pays de devenir un Ministre de la Santé, en remplacement d’un Muluba du Katanga, qui a tout donné pour le pouvoir de Joseph Kabila : Dr Félix Kabange Numbi.
Voilà pourquoi, ils sont maudits : Tshibala et Badibanga. C’est ce qui justifie l’escroquerie dont a été victime Tshibala qui a présenté Loseke Tharcisse, aussi un Belge, comme Président de son aile de l’UDPS débauchée par Joseph Kabila.
La CENI de Nangaa ne l’a pas invalidé. Et pourtant, c’est un Belge au même titre que Samy Badibanga pour ne pas avoir exécuté le rituel consistant à la renonciation de la nationalité belge.
L’artiste musicien Koffi Olomide a déclaré :’’La vérité vient par les escaliers, tandis que le mensonge vient l’ascenseur’’. Aujourd’hui, il est plus facile de comprendre pourquoi le débauché et locataire Tshibala a quitté l’intégrité lui imprimée par Etienne Tshisekedi pour rejoindre la mangeoire présidentielle (MP) qui est en train d’enterrer Samy Badibanga aujourd’hui.
De la même manière que Samy Badibanga se croyait à l’abri, après avoir reçu son acte de renonciation de nationalité par Tambwe Mwamba, de même Bruno Tshibala renouera avec la Prison parce qu’il est en liberté provisoire le jour où il se permettra de trahir l’enfant, le Général ou le successeur de Mzée Laurent Désiré Kabila.
En principe, un Président d’un parti politique, ne pouvait pas être accepté sur la liste d’un autre parti politique adversaire. Surtout que l’AFDC est réputé parti de la MP dont les idéaux sont diamétralement opposés à ceux de l’UDPS. Comment alors Bruno Tshibala peut avoir prêté ses poulains à un parti de la MP ? C’est croire qu’il a trahi Etienne Tshisekedi qui pensait victime de l’arrachement de son imperium par un pouvoir d’occupation ou d’usurpation ou encore d’imposture à travers les élections organisées par le candidat Ngoie Mulunda à la députation nationale en 2011 ?
Propos recueillis par Claude Kafuku
La cour constitutionnelle devant l'occasion en or de gagner ou perdre la confiance des autres Nul ne passe inaperçu et au hasard dans les viseurs de ceux qui sentent et respirent de la politique. Purement ou au pire, celles de la RDC. Après avoir détecté les modules d'agissements du pouvoir en place, aux travers les institutions dites "de la République " où leur indépendance dans leurs prises de décisions, pose encore et toujours un vrai problème. À l'image récemment, des décisions tombées à propos de l’invalidation de certaines candidatures à la présidence tout comme à la députation par la CENI, qui étaient dessinées ou préméditées dans les couloirs du pouvoir en place. Ce qui vient encore confirmer l'hypothèse que soutiennent certains opposants et une certaine opinion, selon laquelle, le pouvoir en place "téléguide ou manipule" toutes les institutions. Ce qu'il faudra retenir à nouveau est qu'une autre vision ou stratégie serait actualisée par le pouvoir en place. Laquelle? Celle d'allumer le feu et observer après les dégâts dans l'environnement politico-socio interne qu’externe pour qu’enfin, il tranche sur le choix d'y apporter de l'eau pour l'éteindre ou non le feu. Décidément, devant la machine du FCC , qui vient mettre fin à la politique de débauchage des acteurs politiques en provenance de l'Opposition. Au moins, s'il s'agirait spécialement de deux baleines :Jean-Pierre Bemba GOMBO ou Félix Tshisekedi, comme aurait décidé le pouvoir en place, cette politique là choisie, de pouvoir éteindre le feu en y aspergeant de l'eau là où ils utilisaient jadis de l'huile, reste toujours dans la perspective de conservation du pouvoir. Par quelle voie? À savoir, à tout prix, les < Elections> Bien que le chemin menant vers les élections reste irréversible, la qualité ou la crédibilité de ces élections dérange. Seraient-elles crédibles et paisibles? Oui ou Non ?L'on n'en sait concrètement rien du tout. Devant les préalables des opposants, et les exigences du CLC qui étaient prêts à s'inviter à nouveau dans la rue au cas où Joseph Kabila déposait sa candidature, contre toute attente de " l'eau " a été jeté sur le feu qui prenait d'ores et déjà du volumes. Surtout lorsque le dauphin de Kabila a été dévoilé. Malgré cela, le manque de confiance persiste un peu partout. Aussi bien au niveau interne qu'externe .Les opposants acceptent les élections mais sans la Machine à voter et autres préalables ...Nangaa leur répond: " la machine à voter ou rien cette année". Le pouvoir en place aurait répondu systématiquement et indirectement à son tour en passant derrière la CENI, grâce à sa nouvelle stratégie d'allumer le feu pour l'éteindre après devant une multiplicité d'entraves ou non. Le pouvoir en place fait écarter certaines candidatures de l’opposition, entre autres, celles de BEMBA,MUZITO, GIZENGA ,BADIBANGA ou encore à la députation, la candidature de Henriette Wamu etc., tous frappés par " irrecevabilité de leur candidature " , par la CENI. Une fois de plus, l'opinion nationale qu’internationale reste en garde devant un autre rendez-vous. Celui du 19 Septembre 2018 où interviendra la publication de la liste de ceux qui seront retenus définitivement pour competir aux élections du 23 Décembre 2018. Le comble actuellement reste de savoir, est-ce que le feu qui est allumé sera éteint ou non par la Cour constitutionnelle ? Une fois encore, la cour constitutionnelle est placée devant ses responsabilités : soit de gagner la confiance des opposants ou opinions, ou soit encore d'en perdre définitivement, à travers son penchant pour un arbitre neutre ou corrompu. Seule la décision en attente de la cour constitutionnelle "de valider ou invalider " certaines candidatures, aura un impact sur la tenue des élections crédibles et paisibles ou non! Mike Ndenge. |