Tel qu’annoncé par le ministre de la Communication et Médias et porte parole du Gouvernement, Jolino Makelele, le déconfinement de la commune de Gombe a été effectif ce lundi 29 juin 2020.
C’est depuis deux mois, il a été sommé de quitter l’Hôtel du Gouvernement. Pour cause, il est indolent. Il ne sait pas bloquer les actions du Chef de l’Etat. Surtout lorsqu’il a contresigné les ordonnances nommant les Hauts-magistrats et les mandataires des entreprises publiques.
C’est la République des dons. Une République que nous a laissée Joseph Kabila. Peut-être qu’il l’a mal copiée de Moïse Katumbi qui était habitué déjà depuis sa présidence à la tête de Tout-Puissant Mazembe.
Ses avocats ont été ridiculisés et humiliés par lui. A un moment donné, ils se sont lassés et l'ont laissé débiter des mensonges dans une ignorance totale de la procédure et dans un comportement ubuesque devant un tribunal pénal.
Le ministre du Portefeuille a été sommé, ce 24 juin, à exécuter les récentes ordonnances, y compris celles du 03 juin 2019, nommant les mandataires dans les entreprises étatiques.
Quelle que soit la longueur de la nuit, le soleil finit toujours par apparaître. C’est le moins que l’on puisse dire après un calvaire imposé au professeur Mack Dumba Jérémy successivement par Modeste Bahati Lukwebo et Elysée Munembwe
L’homme s’était opposé à se défendre. Il s’est préparé aux quatre armes de la com : mensonges, intox, manipulation et désinformation. Et le peuple congolais qui a suivi son procès dans le cadre des détournements des fonds destinés aux travaux du Programme d’urgence des 100 jours
Le Front Commun pour le Congo, FCC n'arrête pas de poursuivre le bradage du patrimoine de l'Etat. Après Sodimico, Gecamines, Miba, ex ONATRA et toutes les autres entreprises du portefeuille, c'est autour de la Société Minière de Kilo-Moto, SOKIMO
La peur gagne petit à petit ceux qui ont eu et qui ont les charges de l'Etat. Leur gestion de la chose publique a tellement laissé beaucoup de cadavres dans les tiroirs qu'ils ont peur de l'indépendance de la justice.
Pédagogique. Le procès 100 jours n'a rien de politique. Vital Kamerhe, bras droit de Félix-Antoine Tshisekedi a servi de cobaye pour donner des leçons que le pouvoir de l'Etat
L'affaire est déjà prise en délibéré. Le dossier n'est plus au greffe du Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe, mais plutôt aux mains du président de la composition qui a siégé dans l'affaire.